L'oiseau et l'enfant
(Marie Myriam)
- Comme un enfant aux yeux de lumière,
Qui voit passer, au loin les oiseaux.
Comme l'oiseau bleu survolant la terre,
Voit comme le monde, le monde est beau. - Beau le bateau dansant sur les vagues,
Ivre de vie, d'amour et de vent.
Belle la chanson naissante des vagues,
Abandonnée au sable blanc. - Blanc l'innocent, le sang du poète,
Qui en chantant invente l'amour.
Pour que la vie s'habille de fête,
Et que la nuit se change en jour. - Jour d'une vie où l'aube se lève,
Pour réveiller la ville aux yeux lourds.
Où les matins effeuillent les rêves,
Pour nous donner un monde d'amour. - L'Amour c'est toi, l'amour c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi. - Moi je ne suis qu'une fille de l'ombre,
Qui voit briller l'étoile du soir.
Toi mon étoile qui tisse ma ronde,
Viens allumer mon soleil noir. - Noire la misère, les hommes et la guerre,
Qui croient tenir les rênes du temps.
Pays d'amour n'a pas de frontière,
Pour ceux qui ont un coeur d'enfant. - Comme un enfant aux yeux de lumière,
Qui voit passer au loin les oiseaux.
Comme l'oiseau bleu survolant la terre,
Nous trouverons ce monde d'amour. - L'Amour c'est toi, l'amour c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.
L'oiseau c'est toi,
L'enfant c'est moi. (plus lent)
Mis à jour / révisé le 18-12-2008
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