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 Scoutisme de Baden-Powell 

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Cabri 

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Le chevreau, le petit de la chèvre, est aussi très connu sous le nom de cabri. C'est précisément de ce nom que viennent les mots « cabriole  et « cabrioler ».

Dès sa naissance, le chevreau, le plus souvent un enfant unique, est capable de se dresser sur ses pattes. Il ne le fait certes pas avec élégance et ses premières tentatives sont maladroites, mais bien plaisantes à regarder. La gaucherie du début fait rapidement place à de l'aplomb : le chevreau ne tarde pas à s'en aller explorer les environs immédiats. Enfant sage, il ne s'éloigne pas de sa mère : celle-ci sait fort bien le rappeler, s'il s'aventure trop loin. Quoiqu'elle soit parfaitement domestiquée, la chèvre n'en conserve pas moins son instinct ancestral de protection, ce qu'on peut particulièrement bien observer chez les chèvres laissées libres en montagne.

Là-haut plane l'aigle, ennemi de toujours des petits de la chèvre et du chamois, ainsi que de ceux du bouquetin. Le rapace ne rate pas une occasion de bousculer un chevreau, pour le précipiter dans un abîme et le dévorer ensuite à son aise.

Le chevreau tète sa mère assez longtemps et l'absorption de ce lait nourrissant lui permet de se développer rapidement. Il prend des forces, puis se met à brouter comme les adultes. Contrairement au mouton, qui tond pratiquement toute la végétation, la chèvre, elle, choisit soigneusement les feuilles et les ramilles qu'elle désire. Le chevreau passe le plus clair de son temps à gambader et à cabrioler de la plus belle manière. Plus tard, il aura tout le temps d'apprendre à s'assagir. Le chevreau devient adulte à 2 ans.

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Mis à jour / révisé le 12-02-2009
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